lundi 1 septembre 2008

A la capitale (3)

Donc, une fois chez Indigo, Je pensais en avoir fini avec les problèmes techniques, sauf ! qu'à peine arrivée, elle me passe une communication en m'expliquant qu'une fêlée veut absolument lui faire croire qu'elle a 5 kgs de chocolat à lui livrer, qu'elle n'arrive pas à s'en dépatouiller. Sans tambours ni trompettes, elle dit à son interlocutrice : "ne quittez pas, j'vous passe ma mère" (vachement crédible...). Et me voilà en train d'essayer de faire comprendre à cette personne que non ! Indigo n'avait jamais commandé de chocolat (faut imaginer la confiance que j'ai en elle, parce qu'elle aime très beaucoup le chocolat... Aurait pu commandé inconsciemment tout ça...). Ma patience étant ce qu'elle est, j'ai commencé à devenir de moins en moins aimable lorsque la fêlée en question à commencé à me chatouiller les esgourdes avé des menaces débiles... Et c'est quand je lui ai demandé d'où venait ce chocolat, qu'une puce s'est mise dans mon oreille...(et oui.... elles sont remontées) Il venait de Suisse....

TIZZZZZ ! Bourrique !!!

Comment que je me suis faite mener en barque... Et Gamine Indigo qui se tordait de rire...

Comme j'ai compris que j'étais arrivée chez les fous, R. D'amour (grand mec) avait également une petite surprise pour moi : Il a commencé à récupérer patiemment les poils du gros matou dans un petit sachet, afin que j'en fasse un coussin. Bon, d'accord, c'était une de mes idées saugrenues, mais je ne pensais pas qu'il puisse y adhérer !...

M'enfin, entre cinglés, on se comprend...

Et enfin, comme je n'avais pas assez mal au derrière, après avoir fait de la route, Indigo m'a proposé de faire une bonne centaine de bornes pour rendre visite à Soeur Cactus... Très sympa de rencontrer une bloggeuse charmante dont c'était l'anniversaire.
Petite anecdote : Je devais avoir quelque chose avec les ascenseurs, ce week-end. Quand nous sommes arrivées chez elle, j'ai eu la surprise de voir que celui-ci était équipé d'une serrure...
Et Jean-Marc qui était de la partie, s'est évertué pendant 5 bonnes minutes à essayer de dévérouiller l'engin qui restait obstinément clos... Ahhh, le progrès, quelle plaie, par moments

9 commentaires:

Anonyme a dit…

:-),tu reviens quand tu veux Porphyre!!!tu sais quoi?en vous raccompagnant,ils ne m'ont pas entendu ni sonner ni crier,suis restée 15mn dehors!!!c'était la soirée porte close!!!!En tout cas ravie de vous avoir vues ttes les deux

Proserpine a dit…

soeur-cactus : gniarfffff !!!!!j'suis bidonnée. t'as sûrement eu un grand moment de solitude !!! C'est long 15 mn... Au plaisir, vraiment...

indigo a dit…

ha ha ha !!
suis morte de rire Frangine !

Quant à toi ma poule.. avoue.. ! tu t'emmerderai un peu sans mes conneries ..:d)

Anonyme a dit…

je vois que l'amie indigo prend bien soin de toi quand tu passe le week-end chez elle !
veinarde !

Proserpine a dit…

réa : elle ne prend pas soin que de mon esprit, mais aussi de mon estomac...

Anonyme a dit…

Hi Han ! La bourrique t'embrasse depuis "cez les fous". ;o)

Proserpine a dit…

Tizzzz !!! va te baigner !!!

Mister a dit…

Dis donc porphyre ! je reconnais avoir mis un peu de temps à trouver la bonne clé pour faire descendre l'engin mais quand même pô 5 minutes...mdr! Enfin je crois pas...
Bises à toi et merci pour cette jolie rencontres.

Proserpine a dit…

Jean-Marc : euh... Suis p'têt un peu marseillaise, aussi... Quoique, ça m'a paru quand-même un peu long. Heureusement que tu t'es pas retourné, parce que je commençais à avoir une sérieuse envie de me marrer...