jeudi 26 mars 2009

Parlez-moi de la pluie...


Fait de bric et de broc

Vu, ces deux derniers jours, 2 films. Merci M'sieur

Oui, je sais, vous vous demandez bien ce que je glande dans les salles obscures, alors que tout le monde râââme, face à la crise... Enfin, presque tout le monde... : je m'organise, voilà tout !

Je n'ai pas envie de finir comme ça :


Hé, hé, je me pourfends diablement de rire, je me gaûûûsse - ai vu ça dans Ouest France ou les Inrocks, (ce qui n'est pas la même chose, mais bon...) En tout cas, c'est ce qui pend à son vilain nez.

Donc, pour en revenir à nos moutons, en prems : Soyez sympas, rembobinez (Michel Gondry) Complètement barré...


Et en deuxe : Gran Torino (Clint Eastwood) Je viens de le voir et je demande un délai de réflexion. La cuisine des ramassis de rizière m'a tellement donné l'eau à la bouche que j'en ai oublié le principal... Je pouvais presque sentir l'odeur des nems...


Enfin bref, pour en revenir aux films "suédés", comme ils disent, voici un court métrage que l'asticot qui me sert de fils et ses congénères ont tourné quand ils étaient encore dans une structure scolaire (indigne de ce nom).. Pour le reconnaître, il est Breit et il dit QUOI ?...Et c'est fatal... paow !!!!




lundi 23 mars 2009

Et pour confirmation...2

Et pour confirmation... 1

vendredi 20 mars 2009

Avons-nous encore des yeux pour voir et des oreilles pour entendre ?...

Une histoire édifiante que j'ai repéré au fil de mes ballades sur la toile :


" Un musicien de rue était debout dans l’entrée de la station « Enfant Plaza » du métro de Washington DC. Il a commencé à jouer du violon. C’était un matin froid, en janvier dernier. Il a joué durant quarante-cinq minutes.Pour commencer, la chaconne de la 2ème partita de Bach, puis l’Ave Maria de Schubert, du Manuel Ponce, du Massenet et à nouveau, du Bach.¨

A cette heure de pointe, vers 8h du matin, quelque mille personnes ont traversé ce couloir, pour la plupart en route vers leur travail.Après trois minutes, un homme d’âge mûr a remarqué qu’un musicien jouait. Il a ralenti son pas, s’est arrêté quelques secondes puis a démarré en accélérant.

Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : en continuant droit devant, une femme lui a jeté l’argent dans son petit pot. Peu après, un quidam s’est appuyé sur le mur d’en face pour l’écouter mais il a regardé sa montre et a recommencé à marcher. Il était clairement en retard.

Celui qui a marqué le plus d’attention fut un petit garçon qui devait avoir trois ans. Sa mère l’a tiré, pressé mais l’enfant s’est arrêté pour regarder le violoniste. Finalement sa mère l’a secoué et agrippé brutalement afin que l’enfant reprenne le pas. Toutefois, en marchant, il a gardé sa tête tournée vers le musicien.Cette scène s’est répétée plusieurs fois avec d’autres enfants. Et les parents, sans exception, les ont forcés à bouger.

Durant les trois quarts d’heure de jeu du musicien, seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l’écouter un temps. Une vingtaine environ lui a donné de l’argent tout en en continuant leur marche. Il a récolté 32 dollars. Personne ne l’a remarqué quand il a eu fini de jouer. Personne n’a applaudi. Sur plus de mille passants, seule une personne l’a reconnu.

Ce violoniste était Joshua Bell, actuellement un des meilleurs musiciens de la planète. Il a joué dans ce hall les partitions les plus difficiles jamais écrites, avec un Stradivarius valant 3,5 millions de dollars. Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston était « sold out » avec des prix avoisinant les 100 dollars la place.


C’est une histoire vraie. L’expérience a été organisée par le « Washington Post » dans le cadre d’une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d’action des gens. Les questions étaient : Dans un environnement commun, à une heure inappropriée, pouvons-nous percevoir la beauté ? Nous arrêtons-nous pour l’apprécier ? Reconnaissons-nous le talent dans un contexte inattendu ?

Une des possibles conclusions de cette expérience pourrait être : si nous n’avons pas le temps pour nous arrêter et écouter un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées, à côté de combien d’autres choses passons-nous ? "

mardi 10 mars 2009

Life 's a fight

La vie est un combat... Qu'on se le dise, héhé

D'aucuns diront qu'il s'agit d'une pensée agressive. Chaque jour, chaque heure, voire, chaque minute : une lutte pour continuer le chemin. Jour après jour, nous devons nous battre, combattre, se débattre face aux épreuves de la vie. Il y a ce que nous provoquons par nos erreurs et nos impertinences, et il y a ce qui gravite autour de nous : aucun recours. Nous sommes donc acteurs parfois, et victimes ailleurs, d'aillleurs !

C'est une question d'entrainement... C'est comme courir tous les jours : au bout d'un moment, on peut faire des kilomètres sans que le coeur crie à l'aide

Par contre, j'ai toujours eu du mal avec le silence... Vous savez, quand on vous dit que tout va mal et que donc, on va faire un silence radio. Et là, c'est comme en haut d'une falaise (meeeeerde, j'ai le vertige, même si c'est beau) Rien en face. Le vide. La haute voltige, ça demande un certain talent...


Alors je vais me concentrer sur ça :



Et sur ça :




mercredi 4 mars 2009

reprise très momentanée des programmes

Petite vidéo destinée en général à tous les ceusses qui visitent mon blog, (ouatch ! Ca fait du popoulo en ce moment) et, en particulier, à un jeune drummer en herbes (folles ?...)

Alors, voilà, Toi ! quelques années de boulot avant d'en arriver là... Ohhhh... Rien de bien meûchant.... Vu ton intérêt et ta persévérance, il me semble que tu peux y arriver.... avec le pouce et un de tes orteils !.... Un peu de patience, que diable !!
La samba, c'est top