dimanche 26 avril 2009

B comme BO...

B comme Boleadoras.... Oui... Parce que je ne vais pas passer non plus mon temps à dire du mal de tout le monde...

Il fut un temps où j'allais traîner mes fesses sur le bitume du parvis du centre Beaubourg (pour ceux qui n'habitent pas la capitale, c'est cet espèce de plat de nouilles géant polichromique absolument infâme construit sous la présidence du bonhomme à gros sourcils qui prenait sa douche avec sa gitane : Pom pom pi dou...) Bref ! A l'époque (fin des années 70, ça nous rajeunit pô, tout ça...) quantité d'artistes pouvaient s'exprimer à l'extérieur de ladite oeuvre d'art. L'art non-populaire était dedans et l'art populaire, dehors... Mais au moins, c'était encore possible, ce qui n'est plus le cas... Moi, je préfèrais dehors... Dedans, j'y comprenais quecouic... Le métabolisme psychique du camembert expliqué aux nuls, pas mon truc...

Comme d'hab, je m'égare... Et donc, entre tous les artistes que je revenais voir régulièrement, il y avait des argentins qui "jouaient" des boleadoras... Instrument de musique dans sa plus simple expression : une boule accrochée à un fil qui percute le sol. 2 danseurs utilisant chacun 2 boleadoras. Ca faisait un boucan du tonnerre et j'adorais... Petite démonstration :

vendredi 24 avril 2009

A comme AA...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAA...Arielle dombasleuleu.......AAAAAAAAAAAAArghhhhhhhhhhhhh... Je n'en puis plus de la sirène qui refuse de rejoindre les abysses.... Que n'a-t-elle compris l'évidence de sa disparition soudaine, qui me libérerait d'elle ???? Pourquoi ne rejoint-elle pas Ursula ???? JE-N EN-PEUX-PLUS de ses clochettes à la con, de son air d'une, qui voudrait nous faire croire qu'elle !!!! AAAAAAAHHHHH làlà.... Remarquez, elle est maquée avec BHL. Tout est dit. Ca vous nique à coup de millions d'euros, ces gens-là.... OU EST LE TALENT, je vous le demande... OU EST-IL ???? Et Katherine qui se prosterne (l'a un peu d'mal, il engraisse....) BEURKKKKK


Vous avez compris : à partir de maintenant, je ne vais fonctionner qu'avec l'alphabet.. Donc, la prochaine lettre sera le B...


vendredi 17 avril 2009



Je suis toujours à la recherche de bons films. Comme tout le monde. C'est vrai, quoi, on ne cherche pas des navets ! Après une journée épuisante de travail forcé (alors là, j'en rajoute un max, mais quand même, le travail est un gros mot, et forcé est un mot normal), je suis tombée (aie !) sur un truc sur arte : La petite Jérusalem. Alors comme d'hab' : publicité une semaine avant et moi, je me dis : ho lo lo, ho lo lo, encore de la religion, les musulmans, les chrétiens, les juifs, les hindous, les animistes, les universalistes, les verts, les bleus, les rouges, les jaunes (!?!,) Ca va me gonfler.

Pôôô du tout... L'histoire de femmes qui cherchent le bonheur, tout simplement, avec leur partenaire, dans un monde où on leur impose des règles strictes, genre : pas toucher la bêbête, naan... Et l'histoire d'hommes qui n'en peuvent plus de la torah, et qui voudraient bien savoir ce que c'est que le plaisir. La petite soeur qui en pince pour un arabe. Celui-ci refuse tout attouchement après que son père lui a fait comprendre que ce n'était pas une "bonne idée"

La religion est là.... mais la vie est là, aussi.

J'ai bien aimé.




Plus d'infos sur ce film

vendredi 10 avril 2009

Ce soir, j'ai décidé de vous faire partager des talents.

Comme mon fils est le premier concerné,voici son blog LA qu'il commence et que je pense qu'il est doué.

Ensuite viennent d'autres doués :

Ils sont bons musiciens ;
Ils ne se prennent pô la tête ;
Ils sont pô trèèèès connus ;
Ils vivent sous la pluie...
Par tcheu nous.

Y s'raient p'têt pô contents que je les définisse de cette façon, mais ils déménagent Je les ai vu, et croyez-moi : ca vlope !
Et en voici la preuve :


samedi 4 avril 2009

Samedi, c'est raviolis...

Samedi, c'est raviolis, hi, hi, hi... N'importe quoi...
Bon, là, dans 1 heure, je taille la route, laissant mes ados livrés à eux-mêmes (mère indigne...)
Pendant que je me prépare à passer un week-end farniente, sensuel, et tout et tout... ma fille bosse... Si ! Si !, ça existe ce genre de truc ! L'a trouvé un boulot tout près de la maison, visiblement bien payé. Alelouiah ! (ou alleloujah ? mécréante que je suis...). Quand à mon fils, il se prépare psychologiquement à se rendre utile, moyennant finance, histoire de recouvrir son découvert... (Hé, Manu ! On est définitivement dans le même navire. Yo ! top là ! serre-m'en 5 ! Oui, je sais, on dit gimme five)

Tiens, en parlant d'ados, j'ai vu entre les murs. (nan, nan, j'suis pas un fantôme et je ne fais pas allusion à ce film où il y a des tarés qui séquestrent des enfants dans les parois d'une maison et où ! Ils leurs coupent la langue. S'il y en a qui se rappellent le titre, qu'ils me fasse un signe) Je m'attendais..... A rien. Esprit totalement ouvert.

C'est un film SU-PER.

Pas de solutions, pas de jugement. Nous sommes dans la réalité, tout simplement. Et justement, la réalité réelle de la vie n'est pas simple. On est tellement habitués aux happy end ou aux fins tragiques, qu'on oublie qu'il n'y a pas toujours de solutions miracles. Bref ! Je pourrais en écrire des tonnes à propos de ce film, mais le mieux, c'est de le voir.

Ouh la la, il faut que je m'en aille... Bon week-end à toutezé à tous !