jeudi 12 juin 2008

un ptit café, c'est tout...

Voilà à peu près comment se sentent mes petits (ou grands) blessés de guerre, quand je déserte l'établi de travail.... Aujourd'hui , bonne résolution : j'avais décidé d'oeuvrer toute la journée. Empoigner la loupe, allumer le spot, mettre France Inter, attraper les pinceaux et les peintures et en avant les chiffres romains et arabes, les signatures, etc... Et paf !!! La copine kiki... qui débarque pour le café matinal. Ni une, ni deux, je déserte allègrement la pièce en me disant : "tu reviens dans pas longtemps... " Et voilà, onze heures et le moral de mes cadrans est au plus bas... Je les ai une fois de plus abandonnés...(é ou és ??? L'accord du participe passé, j'ai vraiment du mal...)

Pas simple de travailler chez soi ! Je suis la seule qui puisse me mettre un coup de pompe dans le derrière. Pas facile !

C'est criminel de se plaindre quand d'aucuns travaillent en usine, se font, la plupart du temps exploiter , et supportent une hiérarchie qui n'a pas l'intention de baisser la garde....

Et comme, au lieu de bosser, je suis en train d'écrire cet article, j'y retourne...

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